30/05/2017 à 11:54, B.G
113 personnalités, palmées, primées, et membres des jurys, ayant marqué l’Histoire du Festival, sont venues célébrer cette 70e édition anniversaire, en ce 23 mai.
Les Palmes :
Laurent CANTET (Palme d’or 2008), Cristian MUNGIU (Palme d’or 2007), Jerry SCHATZBERG (Palme d’or 1973), Claude LELOUCH (Palme d’or 1966), Michael HANEKE (Palme d’or 2009, 2012), Jane CAMPION (Palme d’or 1993), Ken LOACH (Palme d’or 2006, 2016), Nanni MORETTI (Palme d’or 2001), Costa GAVRAS (Palme d’or 1993), Bille AUGUST (Palme d’or 1988, 1992), Mohammed LAKDAR-HAMINA (Palme d’or 1975)
Agnès VARDA (Palme d’honneur 2015), Jean-Pierre LEAUD (Palme d’honneur 2016)
Les jurys 2017:
Pedro ALMODÓVAR (président), Maren ADE, Jessica CHASTAIN, FAN Bingbing, Agnès JAOUI, PARK Chan-wook, Will SMITH, Paolo SORRENTINO, Gabriel YARED
Uma THURMAN (présidente du jury Un certain regard), Mohamed DIAB (jury Un certain regard), Reda KATEB (jury Un certain regard), Joachim LAFOSSE (jury Un certain regard)
Les prix d'interprétation :
Vincent LINDON (prix d'interprétation 2015), Kirsten DUNST (prix d'interprétation 2011), Élodie BOUCHEZ (prix d'interprétation 1998), émilie DEQUENNE (prix d'interprétation 1999), Mads MIKKELSEN (prix d’interprétation 2008, jury 2010), Emmanuelle BERCOT (prix d'interprétation 2015), Christoph WALTZ (prix d’interprétation 2009), Bérénice BEJO (prix d'interprétation 2013), Juliette BINOCHE (prix d’interprétation 2010), Benicio DEL TORO (prix d’interprétation 2008, jury 2010), Séverine CANEELE (prix d'interprétation 1999)
Les invités :
Oliver STONE, Diane KRUGER (maîtresse des cérémonies en 2007), Monica BELLUCCI (maîtresse des cérémonies en 2002 et 2017), Lambert WILSON (maître des cérémonies en 2014 et 2015), Sandrine BONNAIRE (présidente Œil d’or 2017), Nastassja KINSKI, Gaspar NOE, Abel FERRARA, Salma HAYEK, Sofia COPPOLA, Mathieu KASSOVITZ, Charlize THERON, MAÏWENN, Alfonso CUARÓN, Guillermo DEL TORO, Dario ARGENTO, Alejandro G. IÑÁRRITU, Elle FANNING, Agustin ALMODÓVAR, Laetitia CASTA, Cécile DE FRANCE, Colin FARRELL, Emmanuelle BÉART, Valérie DONZELLI, Marion COTILLARD, Nicolas WINDING REFN, Emmanuelle DEVOS, Naomi KAWASE, Abderrahmane SISSAKO, Jacques DOILLON, Laura MORANTE (maîtresse des cérémonies en 2004), Fatih AKIN, André DUSSOLLIER, Tilda SWINTON, Adrian BRODY, Nicole GARCIA, Jean-Pierre JEUNET, Marthe KELLER, Michel HAZANAVICIUS, Kristin SCOTT-THOMAS (maîtresse des cérémonies en 2010), SHU-QI, Diego LUNA, Paul LAVERTY, Yorgos LANTHIMOS, Tonie MARSHALL, Elie SULEIMAN, Jerzy SKOLIMOWSKI, Valeria GOLINO, Gael GARCÍA BERNAL, Ludivine SAGNIER, Matteo GARRONE, Céline SALLETTE, Antonio BANDERAS, Édouard BAER (maître des cérémonies en 2008 et 2009), Ariane LABED, Amos GITAI, Virginie LEDOYEN (maîtresse des cérémonies en 2002), Ferid BOUGHEDIR, Sergio CASTELLITO, JIA Zhang-ke, Alain CAVALIER, Benoît JACQUOT, Raoul PECK, BONG Joon-ho, Barbet SCHROEDER, Jean-Paul GAULTIER, Michèle RAY-GAVRAS, Brillante MENDOZA.
29/05/2017 à 22:18, B.G
Pedro Almodóvar et ses jurés de la 70e édition du Festival de Cannes ont créé la surprise en couronnant The Square du Suédois Ruben Öslund. Les jurys de la Caméra d'or et du court métrage ont aussi décerné leurs prix.
À nouveau, ce n'est pas un des favoris des critiques ou des festivaliers qui décroche la récompense suprême. Pedro Almodóvar et ses jurés ont couronné The Square. Pour la première fois en compétition, après avoir décroché le prix du jury à Un certain regard pour Snow Therapy en 2014, le Suédois Ruben Östlund, 43 ans, décroche la Palme d’or. Ce film caustique, réflexion sur notre société et son individualisme à travers l’art contemporain, de 2h20, n’était pourtant pas parmi les favoris pour le fameux trophée.
"The Square est censé nous rappeler nos responsabilité sociales. Je voulais parler de cela à notre époque où il se passe tout un tas de choses, et pourtant on ne réagit pas", a déclaré le cinéaste quelques minutes après avoir reçu la Palme d’or. Son prochain film, Le triangle de la tristesse, se penchera sur le monde de la mode, a-t-il révélé. "Il (Östlund) a réalisé ce film extrêmement drôle d'une main de maître. Ça parle du politiquement correct, une dictature qui peut-être aussi horrible que n'importe quelle autre. Ce sujet aussi sérieux a été traité avec une imagination incroyable", a commenté Pedro Almodóvar. The Square est coproduit par Philippe Bober (The Coproduction Office) et sera distribué en France par Bac.
Le jury a donc préféré The Square pour la Palme d’or aux deux favoris 120 battements par minute et Faute d’amour. Ils repartent toutefois chacun avec une récompense. Le grand prix pour le film de Robin Campillo, déjà lauréat du prix Fipresci et de la Queer palm, qui raconte le combat des militants d’Act Up dans les années Sida (Les Films de Pierre/Memento le sortira le 23 août) et remporte aussi le prix du cœur de nombreux festivaliers, comme la standing ovation qui a suivi l’annonce l’a rappelée.
Et le prix du jury pour le film d’Andreï Zvyagintsev (Pyramide, 20 septembre), qui dépeint à travers l'histoire d'un couple à la recherche de leur enfant, ne supportant plus leurs disputes pour ne pas le garder, dans une société russe déshumanisée. Le cinéaste ayant été auparavant distingué du prix du scénario pour son précédent film, Leviathan en 2014, et du prix du jury Un certain regard pour Elena en 2011.
Le jury a par ailleurs primé à deux reprises You Were Never Really Here de la Britannique Lynne Ramsay (coproduit par Pascal Caucheteux, que sortira SND), par le prix du scénario à la cinéaste et le prix d’interprétation à l’Américain Joaquin Phoenix. Il est consacré pour sa partition dans le rôle d'un vétéran de l'Irak, traumatisé, mutique et ultraviolent, qui doit exfiltrer une adolescente d'un réseau de prostitution.
Le jury a attribué le prix du scénario ex aequo à Yórgos Lánthimos pour Mise à mort du cerf sacré (Haut et Court le sortira le 1er novembre). In the Fade (Pathé), qui marque le retour de l’Allemand Fatih Akin à Cannes, a été distingué à travers sa principale interprète, Diane Krüger, qui composait ici son premier rôle en allemand. Elle incarne Katja, une femme allemande qui décide de se venger de terroristes néonazis qui ont tué dans un attentat son mari, un ancien trafiquant de drogue d'origine turque, et son fils de six ans.
Autre comédienne à être récompensée, Nicole Kidman, via un prix spécial décerné par le jury à l’occasion du 70e anniversaire. Souvent venue à Cannes, la comédienne était la plus présente cette année avec deux films en compétition, Mise à mort du cerf sacré et Les proies, ainsi que dans deux œuvres hors compétition How to Talk to Girls at Parties et dans la saison 2 de Top of the Lake de Jane Campion.
Les proies (en salle le 23 août, Universal), remake du film de Don Siegel, vaut également à sa réalisatrice Sofia Coppola, venue une première fois à Cannes en 2006 en compétition avec Marie Antoinette, puis en 2013 en ouverture d’Un certain regard avec The Bling Ring, le prix de la mise en scène.
La Caméra d’or revient pour la 3e année consécutive à un film français, Jeune femme de Léonor Séraille, indissociable de son interprète Laetitia Dosch, produit par Sandra de Fonseca, avec Bertrand Gore et Nathalie Mesuret, au sein de Blue Monday (Shellac en distribution). Le film était sélectionné à Un certain regard. Formée à La fémis, Léonor Séraille évoque dans son long une trentenaire en crise.
Ce palmarès vient clore une 70e édition marquée par la polémique Netflix, née autour de la sélection de deux films,Okja et The Meyerowitz Stories, en compétition. Pedro Almodóvar avait déclaré dès le début du Festival qu'il ne se voyait pas récompensé des films qui ne sortiraient pas en salle, réduisant ainsi d'autant plus la compétition.
Cette édition aura aussi été rythmée par les célébrations de ses 70 ans avec la présence d'un parterre exceptionnel de personnalités du 7e art, malgré les risques d'attentats et les mesures de sécurité qui ont dû être prises dans ces circonstances.
PALMARÈS
Palme d'or : The Square de Ruben Östlund
Grand prix : 120 battements par minute de Robin Campillo
Prix de la mise en scène : Sofia Coppola pour Les proies
Prix du jury : Faute d'amour d'Andreï Zvyagintsev
Prix du scénario attribué ex aequo : Yórgos Lánthimos pour Mise à mort du cerf sacré et Lynne Ramsey pour You Were Never Really Here
Prix d'interprétation féminine : Diane Krüger dans In the Fade de Fatih Akin
Prix d'interprétation masculine : Joaquin Phoenix dans You Were Never Really Here de Lynne Ramsey
Caméra d'or, décerné par un jury présidé par Sandrine Kiberlain : Jeune femme de Léonor Séraille (Blue Monday), présenté à Un certain regard
Le jury du court métrage et de la Cinéfondation, présidé par Cristian Mungiu, a attribué deux prix :Palme d'or du court métrage : Xiao Cheng er yue (Une nuit douce) de Qiu Yang
Mention spéciale : Katto (Le plafond) de Teppo Airaksinen
UN CERTAIN REGARD - PALMARÈS
PRIX UN CERTAIN REGARD
LERD (Un homme intègre) réalisé par Mohammad RASOULOF
PRIX D'INTERPRÉTATION FÉMININE
JASMINE TRINCA pour FORTUNATA réalisé par Sergio CASTELLITTO
PRIX DE LA POÉSIE DU CINÉMA
BARBARA réalisé par Mathieu AMALRIC
PRIX DE LA MISE EN SCÈNE
Taylor SHERIDAN pour WIND RIVER
PRIX DU JURY
LAS HIJAS DE ABRIL réalisé par Michel FRANCO
BILAN
Les films: en fait les films présentés à Cannes chaque année c’est un peu comme le saucisson de Noël, la même chose que le reste de l’année mais avec une guirlande autour. Alors après c’est à nous de dire si c’est bon ou pas. Cette année l’accent a été mis essentiellement sur le cinéma d’auteur et les choses s’annonçaient plutôt bien avec la présentation des « Fantômes d’Ismaël » en ouverture. Plus film d’auteur que ça en ouverture faut chercher loin. Dans l’ensemble si les films étaient quoiqu’on en dise de qualité, la morosité ambiante s’installant dès les premiers jours sur cette 70e édition en ces temps troublés ne fit qu’aggraver nos humeurs chancelantes. Et c’est ainsi que le jury de Pedro Almodóvar devant cette programmation d’une noirceur déferlante a décidé de donner la palme d’or à la seule comédie (sarcastique il est vrai) de la sélection, le film The Square du Suédois Ruben Öslund dont le film Snow Therapyfut en sélection à Un certain regard en 2014.
Jacques Doillon dans la compétition à Cannes cela ne s’était pas vu depuis longtemps et ce fut une surprise. Son Rodin restera malgré tout sur le côté et c’est dommage car son film aurait mérité quelque chose, mais qu’à cela ne tienne la sélection de son film en compétition permettra à Doillon un retour sur les écrans après une période discrète, malgré la sortie de son film magnifique Mes séances de lutte en 2013 et qui passa pratiquement inaperçu.
Inutile de revenir ici sur la polémique Netflix mais c’est quand même scier un peu la branche sur laquelle on est assis.
La météo: et bien un sans-faute, une agréable douceur qui nous fit profiter des séances du Cinéma de la plage en soirée et nous offrit les moments les plus festifs de cette 70e édition anniversaire avec également 2 concerts : Ciné-concert de rébétiko avec Tony Gatlif et la présentation de son film Djam, un concert de Matthieu Chedid (M) pour les 70 ans du festival, et également des films mémorables avec la présentation entre autres du chef-d'œuvre de Hugh Hudson Les Chariots de feu dans une copie optimale restaurée en 4K. Un régal.
La sécurité: draconienne comme on pouvait s’y attendre, bras écartés, palpations pour certains qui ne pouvaient pas passer sous les portiques en raison de porteur de pacemaker, défibrillateur ou autres, sécurité renforcée encore après l’attentat du mardi de Manchester. Les alentours du palais entourés d’un cordon de véhicules de police, c’était assez impressionnant, par contre pas un seul véhicule notamment le matin à la Quinzaine des réalisateurs où s’entassaient des centaines de personnes sous le auvent du Théâtre Croisette. À peine un fourgon en milieu d’après-midi. Il fallait le dire.
Un festival en demi-teintes en ces temps troublés ce qui ne gâcha certes pas la fête mais le cœur n’y était pas comme d’habitude.
18/05/2017 à 09:09, B.G
Quand Monica Bellucci en maîtresse de cérémonie illumine le Palais des festivals par un discours d’ouverture dans la grande tradition cannoise
À l’intérieur du Palais, le Festival a pu commencer. D’abord, ce sont Louane et Benjamin Biolay qui sont arrivés sur scène pour y interpréter Le Cinéma de Claude Nougaro, accompagnés à la danse par la chorégraphe espagnole Blanca Li, vêtue d’une robe de flamenco rouge. Après cette parenthèse musicale, Monica Bellucci, maîtresse de cérémonie, s’est avancée sur la scène. Dans une robe voluptueuse bleu nuit, l’actrice italienne de 52 ans a livré un discours dans lequel elle a loué le pouvoir fédérateur du cinéma : "Toutes les voix peuvent être écoutées, parce que le langage du cinéma n’appartient à aucun territoire", a estimé la comédienne. "Seuls la musique et les mathématiques sont des langages qui ont la même force." Monica Bellucci a alors invité Pedro Almodóvar à la rejoindre sur scène. Après une vidéo rétrospective de son œuvre, le président du jury 2017 a expliqué comment il appréhendait cette responsabilité: "Je promets de donner mon meilleur et mon pire, je promets d’être subjectif, passionné mais flexible", a lancé le réalisateur de Tout sur ma mère, avant de jurer de dédier "tout (son) corps et toute (son) âme à cette tâche." Les autres membres du jury l’ont ensuite rejoint pour la traditionnelle photo de groupe. Après avoir découvert des extraits de films de la sélection officielle et avant l’ouverture officielle du Festival, les téléspectateurs ont eu droit à une séquence inattendue. Celle d’un baiser, échangé par Alex Lutz et Monica Bellucci dans le cadre d’un sketch. Alors que l’humoriste venait d’arriver sur scène, la comédienne l’a invité à danser avant de l’embrasser, sous les regards surpris des membres du jury. Après cette séquence, la jeune actrice Lily-Rose Depp et le réalisateur iranien Asghar Farhadi sont apparus sur la scène, afin de déclarer ouverte la 70e cérémonie du Festival de Cannes, marquant la fin de la cérémonie d’ouverture. Une dernière intervention qui a laissé le champ libre à la projection des Fantômes d’Ismaël, et à dix jours durant lesquels les plus hautes figures du cinéma mondial célébreront le septième art.
Quelques minutes auparavant Monica Bellucci se livrait à la séduction du photocall pour le plus grand plaisir des photographes
09/05/2017 à 18:14, B.G
Pour ses 25 ans, l'Acid propose une programmation, du 18 au 27 mai, de 10 films, enrichie cette année d'autres titres dans le cadre d'une carte blanche offerte à une association étrangère de cinéastes, en l'occurrence aux Serbes de Bande à part.
Sélection
L'assemblée de Mariana Otero (documentaire) - produit par Buddy Movies, Archipel 35, distribué par Epicentre Films
Avant la fin de l'été de Maryam Goormaghtigh (documentaire) 1er film - produit par 4 A 4 Productions, Intermezzo Films, distribué par Shellac
Belinda de Marie Dumora (documentaire) - produit par Gloria Films, vendu par Be for films
Le ciel étoilé au-dessus de ma tête de Ilan Klipper 2e film - produit par Bathysphère Productions, distribué par Happiness Distribution Avec Laurent Poitrenaux, Camille Chamoux, Maryline Canto, Alma Jodorowsky, Michèle Moretti, François Chattot, Franck Williams...
Coby de Christian Sonderegger (documentaire) 1er film - produit par Ciaofilm, Willow Film, vendu par Alpha Violet
Sans adieu de Christophe Agou (documentaire ) 1er film - produit par Les Enragés, distribué par New Story
Kiss and Cry de Lila Pinell et Chloé Mahieu 1er film - produit et vendu par Ecce Films, distribué par UFO Distribution
Last Laugh de Zhang Tao 1er film - produit par House on Fire, Butong Pictures (Hong Kong, France), vendu par MPM Films
Scaffolding de Matan Yair 1er film - produit par Green Productions, Film Produkcja (Israël, Pologne), vendu par New Europe Film Sales
Séance spéciale
Pour le réconfort de Vincent Macaigne - 1er film - Produit par CG Cinéma, Les Canards Sauvages, distribué par UFO
avec Emmanuel Matte, Pascal Rénéric, Laure Calamy, Pauline Lorillard, Joséphine de Meaux
Programme ACID TRIP #1 : SERBIE
L'Acid inaugure une programmation offerte à une association étrangère de cinéastes indépendants impliquée dans les problématiques de diffusion des œuvres et de formation des publics. Cette année, c'est l’association de cinéastes serbes Bande à part, qui programme le Festival du Film d'Auteurs de Belgrade, et inaugure cette carte blanche avec deux longs métrages et un programme de courts métrages :
Requiem pour Madame J. de Bojan Vuletic - 2e film, vendu par Soul Food
L'humidité de Nikola Ljuca - 1er film, vendu par Soul Food
Courts métrages : Dos patrias de Kosta Ristic, Transition de Milica Tomovic, Sortie de secours de Vladimir Tagic, A Handful of stones de Stefan Ivancic, If I Had It My Way I Would Never Leave de Marko Grba Singh
04/05/2017 à 14:04, B.G
Cannes Classics se compose ainsi de 22 longs métrages, une sélection de courts métrages et cinq documentaires. Les films sont projetés comme voulu par les ayants droit, en DCP 2K ou DCP 4K, et L’Atalante de Jean Vigo en 35mm comme souhaité par Gaumont. Une partie de la Sélection sera intitulée "une brève histoire du Festival de Cannes", et proposera des films ayant marqué le Festival :
- 1946 : La bataille du rail (Battle of the Rails) de René Clément (1h25, France) : grand prix international de la mise en scène et prix du jury international
- 1953 : Le salaire de la peur (The Wages of Fear) de Henri-Georges Clouzot (1952, 2h33, France, Italie) : grand prix (photo)
- 1956 : Körhinta (Merry-Go-Round / Un petit carrousel de fête) de Zoltán Fábri (1955, 1h30, Hongrie) : en compétition
- 1957 : Ila Ayn? (Vers l’inconnu ?) de Georges Nasser (1h30, Liban) : en compétition
- 1967 : Skupljači Perja (I Even Met Happy Gypsies / J’ai même rencontré des Tziganes heureux) d’Aleksandar
Petrović (1h34, Serbie) : en compétition, grand prix spécial du jury, prix de la critique internationale - Fipresci ex aequo
- 1967 : Blow-up de Michelangelo Antonioni (1966, 1h51, Royaume-Uni, Italie, États-Unis) : grand prix international du Festival
- 1969 : Matzor (Siege / Siège) de Gilberto Tofano (1h29, Israël) : en compétition
- 1970 : Soleil O (Oh, Sun) de Med Hondo (1h38, Mauritanie, France) : Semaine de la critique
- 1976 : Babatu, les trois conseils de Jean Rouch (1h33, Niger, France) : en compétition
- 1976 : Ai no korîda (In the Realm of the Senses / L’empire des sens) de Nagisa Oshima (1h43, France, Japon) : Quinzaine des réalisateurs
- 1980 : All that Jazz (Que le spectacle commence) de Bob Fosse (1979, 2h03, États-Unis) : Palme d’or
- 1981 : Człowiek z żelaza (Man of Iron / L’homme de fer) d’Andrzej Wajda (2h33, Pologne) : Palme d’or
- 1982 : Yol – The Full Version (The Way / La permission) de Yilmaz Güney, réalisé par Serif Gören (1h53, Suisse) : Palme d’or, prix de la critique internationale - Fipresci
- 1983 : Narayama Bushikō (Ballad of Narayama / La ballade de Narayama) de Shôhei Imamura (2h13, Japon) : Palme d’or
- 1992 : El sol del membrillo (Le songe de la lumière) de Victor Erice (2h20, Espagne) : en compétition, prix du jury, prix de la critique internationale – Fipresci
1951-1999 : Une brève histoire des courts métrages présentés par le Festival de Cannes. Un programme préparé par Christian Jeune et Jacques Kermabon, avec dans l’ordre : Spiegel van Holland (Miroirs de Hollande) de Bert Haanstra (1951, 10mn, Pays-Bas) , La Seine a rencontré Paris de Joris Ivens (1958, 32mn, France), Pas de deux de Norman McLaren (1968, 13mn, Canada), Harpya de Raoul Servais (1979, 9mn, Belgique), Peel de Jane Campion (1986, 9mn, Australie), L’interview de Xavier Giannoli (1998, 15mn, France), When the Day Breaks d’Amanda Forbis et Wendy Tilby (1999, 10mn, Canada).
Seront également au programme de cette nouvelle édition de Cannes Classics :
- Madame de… de Max Ophüls (1953, 1h45, France)
- L’Atalante de Jean Vigo (1934, 1h28, France) en copie restaurée 35mm
- Native Son (Sang noir) de Pierre Chenal (1951, 1h47, Argentine)
- Paparazzi de Jacques Rozier (1963, 18mn, France)
- Belle de jour de Luis Buñuel (1967, 1h40, Espagne-France)
- A River Runs Through It (Et au milieu coule une rivière) de Robert Redford (1992, 2h04, États-Unis)
- Lucía de Humberto Solas (1968, 2h40, Cuba)
Cannes Classics proposera également l’histoire du cinéma par le 7e art lui-même, à travers la présentation de cinq documentaires :
- La belge histoire du Festival de Cannes (The Belgian’s Road to Cannes) de Henri de Gerlache (2017, 1h02, Belgique).
- David Stratton - A Cinematic Life de Sally Aitken (2017, 1h37, Australie).
- Filmworker de Tony Zierra (2017, 1h29, États-Unis)
- Becoming Cary Grant (Cary Grant - De l’autre côté du miroir) de Mark Kidel (2017, 1h25, France)
- Jean Douchet, l’enfant agité de Fabien Hagège, Guillaume Namur, Vincent Haasser (2017, 1h30, France)
-ÉVÉNEMENTS 70EME ANNIVERSAIRE :
TOP OF THE LAKE: CHINA GIRL de Jane CAMPION Ariel KLEIMAN
24 FRAMES de Abbas KIAROSTAMI
TWIN PEAKS de David LYNCH
COME SWIM de Kristen STEWART
NOS ANNEES FOLLES d'André Téchiné - Séance Hommage au cinéaste
DJAM de Tony Gatlif - Evénement Ciné-concert (Cinéma de la Plage)
LES CHARIOTS DE FEU de Hugh HUDSON (Cinéma de la Plage)
À l’occasion de la projection des Chariots de Feu de Hugh Hudson au Cinéma de la Plage, le Festival reçoit l’équipe de la Candidature aux Jeux Olympiques de Paris 2024. En présence du kayakiste Tony Estanguet (Co-président de Paris 2024) et de la Ministre des Sports Laura Flessel.
04/05/2017 à 12:51, B.G
Pour ouvrir les festivités le 17 mai, le festival a choisi le film d’un grand nom français, Arnaud Desplechin. Il présentera, hors compétition, Les fantômes d’Ismaël dans lequel il retrouve Mathieu Amalric et Hippolyte Girardot, entourés de nouveaux venus dans son univers : Marion Cotillard, Charlotte Gainsbourg, Louis Garrel et Alba Rohrwacher.
04/05/2017 à 11:08, B.G
L'actrice française Sandrine Kiberlain présidera le jury de la Caméra d'or
04/05/2017 à 10:03, B.G
04/05/2017 à 08:54, B.G
Retrouvez sur notre dossier ci-dessous la conférence de presse en intégralité, la sélection officielle, le jury des différentes sections
SÉLECTION OFFICIELLE
Film d’ouverture
Les Fantômes d’Ismaël d’Arnaud Desplechin (distribué par Le Pacte le 17 mai 2017, vendu par Wild Bunch) 1h54
120 battements par minute de Robin Campillo (distribué par Memento) 2h23
Aus dem nichts (In the Fade) de Fatih Akin - coproduit par Macassar (distribué par Pathé, vendu par Match Factory)
The Meyerowitz Stories de Noah Baumbach (acquis par Netflix) 1h45
Okja de Bong Joon-ho (film original Netflix, sortie mondiale prévue sur la plateforme le 28 juin) 2h
The Beguiled (Les proies) de Sofia Coppola (distribué par Universal Pictures Intl France, sortie le 23 août)
Rodin de Jacques Doillon - produit par Les Films du Lendemain, avec Artémis en Belgique (distribué et vendu par Wild Bunch, sortie le 24 mai en France) 2h
Happy End de Michael Haneke (distribué et vendu par Les Films du Losange, sortie le 18 octobre en France)
Wonderstruck de Todd Haynes (distribué par Metropolitan Filmexport)
Le Redoutable de Michel Hazanavicius - produit par Les Compagnons du cinéma (distribué par Studiocanal et vendu par Wild Bunch)
Geu-Hu (The Day After) de Hong Sang-soo (distribué par Capricci)
Hikari (Radiance - Vers la lumière) de Naomi Kawase (distribué par Haut et Court)
The Killing of a Sacred Deer (Mise à mort du cerf sacré) de Yórgos Lánthimos (distribué par Haut et Court, vendu par HanWay)
A Gentle Creature (Une femme douce) de Sergei Loznitsa -produit par Slot Machine en France (distribué par Haut et Court, vendu par Grandfilm) 2h23
Jupiter's Moon de Kornel Mundruczo (distribué par Pyramide Distribution, vendu par Match Factory)
L'amant double de François Ozon - produit par Mandarin (distribué par Mars Films, vendu par Films Distribution) 2h
You Were Never Really Here de Lynne Ramsay (distribué par SND)
Good Time de Benny Safdie et Josh Safdie (distribué par Ad Vitam, vendu par Memento) 1h35
Nelyubov (Loveless) de Andrey Zvyagintsev (distribué par Pyramide Distribution, vendu par Wild Bunch) 2h07
The square de Ruben Östlund (distribué par Bac Films, sortie au second semestre 2017)
UN CERTAIN REGARD
Barbara de Mathieu Amalric (ouverture) - produit par Waiting for cinéma (distribué par Gaumont)
La novia del desierto (La fiancée du désert) de Cecilia Atán, Valeria Pivato - 1er film (distribué par Memento Films Distribution)
Tesnota (Étroitesse) de Kantemir Balagov - 1er film
Aala kaf ifrit (La belle et la meute) de Kaouther Ben Hania (distribué par Jour2Fête)
L'Atelier de Laurent Cantet - produit par Archipel 35 (distribué par Diaphana Distribution, vendu par Films Distribution)
Fortunata (Lucky) de Sergio Castellitto (vendu par True Colors)
Las hijas de abril (Les filles d'avril) de Michel Franco
Western de Valeska Grisebach (vendu par Films boutique)
Posoki (Directions) de Stephan Komandarev
Out de György Kristóf - 1er film
Sanpo suru Shinryakusha (Before we Vanish) de Kiyoshi Kurosawa (vendu par Wild Bunch, distribué par Eurozoom)
En attendant les hirondelles (The Nature of Time) de Karim Moussaoui - produit par Les Films Pelléas (distribué par Ad Vitam, vendu par MK2) - 1er film
Lerd (Dregs) de Mohammad Rasoulof
Jeune femme de Léonor Serraille - produit par Blue Monday (distribué par Shellac, vendu par B for Films) -1er film
Wind River de Taylor Sheridan (distribué par Metropolitan Filmexport) - 1er film
Après la guerre d’Annarita Zambrano - produit par Sensito et Cinéma de Facto (distribué et vendu par Pyramide Distribution) - 1er film
La cordillera de Santiago Mitre (produit par Maneki en France, distribué par Memento, vendu par Films Factory)
Walking Post the Future de Li Ruijun
03/05/2017 à 19:30, B.G
C’est Claudia Cardinale qui a l’honneur de figurer sur l’affiche de cette 70e édition du Festival de Cannes. Sur un fond rouge, on y découvre l’actrice italienne dans ses jeunes années, tournoyant pieds nus devant un 70 écrit en chiffres d’or.
31/03/2017 à 11:31, lenono
Le cinéaste espagnol présidera le jury du 70e Festival de Cannes.
Pour sa 70e édition: le jury du Festival de Cannes sera cette année présidé par un cinéaste espagnol, l'emblématique Pedro Almodóvar, habitué d'une manifestation qui l'a plusieurs fois récompensé sans lui décerner pour autant la Palme d'or.
Cannes 2017 : Un cinéaste palmé pour présider le jury de la Cinéfondation
Le cinéaste roumain Cristian Mungiu présidera le jury de la Cinéfondation et des courts métrages, succédant ainsi à Naomi Kawase.
Cannes 2017: Claudia Cardinale s'affiche pour le Festival
C’est Claudia Cardinale qui a l’honneur de figurer sur l’affiche de cette 70e édition du Festival de Cannes. Sur un fond rouge, on y découvre l’actrice italienne dans ses jeunes années, tournoyant pieds nus devant un 70 écrit en chiffres d’or.
Cannes 2017 : Le festival choisit sa maîtresse de cérémonie
Après Lambert Wilson puis Laurent Lafitte l'an passé, une actrice italienne qui rayonne à l'international orchestrera les cérémonies d'ouverture et de clôture du 70e Festival de Cannes.
Monica Bellucci se livrera à l'exercice de maîtresse de cérémonie pour célébrer le 70e Festival de Cannes, pour l'ouverture et la clôture, diffusées en direct sur Canal+.
Cannes 2017: une actrice française pour présider la Caméra d'or
Après Wim Wenders, Tim Roth, Abbas Kiarostami et dernièrement, Agnès Varda, Sabine Azéma, ou Catherine Corsini, l'an passé, Sandrine Kiberlain va présider le jury de la Caméra d'or de la 70e édition du Festival de Cannes.
Cannes 2017 : La Sélection officielle entre tradition et renouveau
Thierry Frémaux, délégué général du Festival, a présenté 49 titres pour sa dixième sélection officielle, en attendant quelques ajouts dans les jours qui viennent. Un choix final qui s’est "décidé très tardivement" a-t-il précisé en raison de films arrivés eux très tardivement qui a conduit à un "mode de sélection plus tendu, plus intense".
Auparavant, Pierre Lescure, le président de la manifestation a replacé cette 70e édition dans le contexte "historique et international intéressant, quelques jours après les élections présidentielles à suspens et quelques semaines avant les élections législatives. Le Festival sera un moment un peu suspendu avec un nouveau gouvernement".
Pour ouvrir les festivités le 17 mai, le festival a choisi le film d’un grand nom français, Arnaud Desplechin. Il présentera, hors compétition, Les Fantômes d’Ismaël dans lequel il retrouve Mathieu Amalric et Hippolyte Girardot, entourés de nouveaux venus dans son univers : Marion Cotillard, Charlotte Gainsbourg, Louis Garrel et Alba Rohrwacher.
La compétition compte à ce stade 18 titres, allant de noms très associés à Cannes, d’autres plus rarement venus et plusieurs cinéastes – 4 pour trois films - y faisant leurs premiers pas.
Fatih Akin, le cinéaste allemand d’origine turque, effectue lui un retour en compétition, où il a reçu le prix du scénario pour De l’autre côté en 2007, avec Aus dem nichts (In the fade), une histoire de vengeance dans la communauté turquo-allemande interprétée notamment par Diane Kruger. L’Américain Noah Baumbach entre pour sa part en Sélection officielle avec The Meyerowitz stories accompagné d’un quatuor de stars : Adam Sandler, Dustin Hoffman, Ben Stiller, et Emma Thompson. Côté américain encore, Sofia Coppola revient en compétition - où elle avait présenté Marie-Antoinette en 2006 avant The bling ring à Un certain regard en 2013 - pour The Beguiled (Les proies), avec Colin Farrell, Elle Fanning, Nicole Kidman et Kirsten Dunst, dans une œuvre inspirée, sans être un remake, du film éponyme de Don Siegel. En outre, Todd Haynes, dont Carol a été primé pour l’interprétation de Rooney Mara en 2015, est aussi en lice avec Wonderstruck, dans lequel il a réuni Michelle Williams et Julianne Moore dans une signée du scénariste d’Hugo Cabret, sur deux enfants sourds à des époques différentes. Enfin, les frères Safdie, Benny et Josh (auteurs notamment de Lenny & the kids), fouleront pour la première fois les marches cannoises avec leur film Good time, "un film de braquage" avec Robert Pattinson.
La Corée du sud, en force sur la Croisette avec cinq films à ce stade toutes sections confondues, est présente avec deux cinéastes en compétition. Bong Joon-Ho venu deux fois à Un certain regard, la rejoint avec Okja, un film d'aventure fantastique avec un monstre gentil, avec Tilda Swinton et Jake Gyllenhaal. Hong Sang-soo, sélectionné à plusieurs reprises dans cette section, sera présent avec Geu-Hu, un film en noir et blanc. Parallèlement le prolifique cinéaste présentera en séance spéciale Claire’s camera qu’il a filmé avec Isabelle Huppert pendant le festival de Cannes l’an dernier.
L’Autrichien Michael Haneke viendra briguer une troisième Palme d’or avec Happy end, un film sur une famille bourgeoise du Nord de la France vivant à côté des camps de migrants, avec Jean-Louis Trintignant, Isabelle Huppert et Mathieu Kassovitz.
Pour la deuxième fois en compétition, la britannique Lynne Ramsay aura finaliser le montage avec You were never really here, avec Joachim Phoenix.
Le Russe Andreï Zviaguintsev concourra avec Nelyubov (Loveless) "un road movie sur l’état de la Russie profonde", trois ans après avoir reçu le prix du scénario pour Léviathan.
Le grec Yorgos Lanthimos, deux ans après sa fable The Lobster, dévoilera The killing of the sacred Deer avec Nicole Kidman, Colin Farrell et Alicia Silverstone. L’Ukrainien Sergei Loznitsa briguera lui pour la troisième fois la Palme, après My Joy (2010) et Dans la brume (2012), avec The gentle creature, une libre adaptation de La Douce de Dostoïevski. Enfin, le Hongrois Kornél Mundruczó , prix Un certain regard l’an passé pour White dog, après avoir été sélectionné deux fois en compétition, proposera Jupiter’s moon, un film fantastique sur l'accueil des réfugiés.
Côté français, les quatre heureux élus de la compétition représentent un spectre large. Pour sa troisième participation à la compétition, Michel Hazanavicius présentera Le Redoutable, avec Louis Garrel dans la peau de Jean-Luc Godard, Stacey Martin en Anne Wiazemsky, ainsi que Bérénice Bejo et Micha Lescot, le tout d’après les récits d’Anne Wiazemski. Absent de Cannes depuis très longtemps, Jacques Doillon dévoilera son Rodin, avec Vincent Lindon (prix d’interprétation il y a deux ans pour La loi du marché) dans le rôle du sculpteur, et Izia Higelin. Robin Campillo lui n’est jamais venu avec sa casquette de réalisateur en sélection officielle. Il défendra son troisième long, 120 battements par minute, portrait du groupe activiste Act Up-Paris au début des années 90, avant les trithérapies, avec Adèle Haenel, Nahuel Perez Biscayart, Arnaud Valois et Antoine Reinartz.
Enfin, François Ozon, qui n’a concouru en compétition qu’avec Swimming pool et Jeune et jolie, défendra L’amant double avec Marine Vacth, Jérémie Rénier et Jacqueline Bisset, l'histoire d'une jeune femme qui tombe amoureuse de son psy et s'installe avec lui, avant de découvrir qu'il lui a caché une partie de son identité.
Film d’ouverture
Les Fantômes d’Ismaël d’Arnaud Desplechin (distribué par Le Pacte le 17 mai 2017, vendu par Wild Bunch)
Aus dem nichts (In the Fade) de Fatih Akin - coproduit par Macassar (distribué par Pathé, vendu par Match Factory)
The Meyerowitz Stories de Noah Baumbach (acquis par Netflix)
Okja de Bong Joon-ho (film original Netflix, sortie mondiale prévue sur la plateforme le 28 juin)
The Beguiled (Les proies) de Sofia Coppola (distribué par Universal Pictures Intl France, sortie le 23 août)
Rodin de Jacques Doillon - produit par Les Films du Lendemain, avec Artémis en Belgique (distribué et vendu par Wild Bunch, sortie le 24 mai en France)
Happy End de Michael Haneke (distribué et vendu par Les Films du Losange, sortie le 18 octobre en France)
Wonderstruck de Todd Haynes (distribué par Metropolitan Filmexport)
Le Redoutable de Michel Hazanavicius - produit par Les Compagnons du cinéma (distribué par Studiocanal et vendu par Wild Bunch)
Geu-Hu (The Day After) de Hong Sang-soo (distribué par Capricci)
Hikari (Radiance - Vers la lumière) de Naomi Kawase (distribué par Haut et Court)
The Killing of a Sacred Deer (Mise à mort du cerf sacré) de Yórgos Lánthimos (distribué par Haut et Court, vendu par HanWay)
A Gentle Creature (Une femme douce) de Sergei Loznitsa -produit par Slot Machine en France (distribué par Haut et Court, vendu par Grandfilm)
Jupiter's Moon de Kornel Mundruczo (distribué par Pyramide Distribution, vendu par Match Factory)
L'amant double de François Ozon - produit par Mandarin (distribué par Mars Films, vendu par Films Distribution)
You Were Never Really Here de Lynne Ramsay (distribué par SND)
Good Time de Benny Safdie et Josh Safdie (distribué par Ad Vitam, vendu par Memento)
Nelyubov (Loveless) de Andrey Zvyagintsev (distribué par Pyramide Distribution, vendu par Wild Bunch) The square de Ruben Östlund (distribué par Bac Films, sortie au second semestre 2017)
Cannes 2017 : une actrice américaine pour présider Un certain regard
Le Festival de Cannes a dévoilé le nom de la présidente du jury d’Un certain regard, dont le palmarès sera dévoilé le samedi 27 mai.
L’actrice américaine Uma Thurman présidera le jury d’Un certain regard.
Un certain regard
Barbara de Mathieu Amalric (ouverture) - produit par Waiting for cinéma (distribué par Gaumont)
La novia del desierto (La fiancée du désert) de Cecilia Atán, Valeria Pivato - 1er film (distribué par Memento Films Distribution)
Tesnota (Étroitesse) de Kantemir Balagov - 1er film
Aala kaf ifrit (La belle et la meute) de Kaouther Ben Hania (distribué par Jour2Fête)
L'Atelier de Laurent Cantet - produit par Archipel 35 (distribué par Diaphana Distribution, vendu par Films Distribution)
Fortunata (Lucky) de Sergio Castellitto (vendu par True Colors)
Las hijas de abril (Les filles d'avril) de Michel Franco
Western de Valeska Grisebach (vendu par Films boutique)
Posoki (Directions) de Stephan Komandarev
Out de György Kristóf - 1er film
Sanpo suru Shinryakusha (Before we Vanish) de Kiyoshi Kurosawa (vendu par Wild Bunch, distribué par Eurozoom)
En attendant les hirondelles (The Nature of Time) de Karim Moussaoui - produit par Les Films Pelléas (distribué par Ad Vitam, vendu par MK2) - 1er film
Lerd (Dregs) de Mohammad Rasoulof
Jeune femme de Léonor Serraille - produit par Blue Monday (distribué par Shellac, vendu par B for Films) -1er film
Wind River de Taylor Sheridan (distribué par Metropolitan Filmexport) - 1er film
Après la guerre d’Annarita Zambrano - produit par Sensito et Cinéma de Facto (distribué et vendu par Pyramide Distribution) - 1er film
La cordillera de Santiago Mitre (produit par Maneki en France, distribué par Memento, vendu par Films Factory)
Walking Post the Future de Li Ruijun
Cannes 2017 : le jury de la 70e édition au complet
Pedro ALMODÓVAR – Président
(Réalisateur, Scénariste, Producteur – Espagne)
Maren ADE (Réalisatrice, Scénariste, Productrice – Allemagne)
Jessica CHASTAIN (Actrice, Productrice – États-Unis)
FAN Bingbing (Actrice, Productrice – Chine)
Agnès JAOUI (Actrice, Scénariste, Réalisatrice, Artiste-interprète – France)
PARK Chan-wook (Réalisateur, Scénariste, Producteur – Corée du sud)
Will SMITH (Acteur, Producteur, Musicien – États-Unis)
Paolo SORRENTINO (Réalisateur, Scénariste – Italie)
Gabriel YARED (Compositeur – France)