Mademoiselle de Paris TP

On fête la « Sainte-Catherine » dans la maison de haute couture de Maurice Darnal. Le personnel de la maison, les premières, les mannequins, le patron, se retrouvent à une grande fête en l'honneur des Catherinettes. Michèle, jolie et distinguée, ne s'attarde pas à la fête. Elle y a pourtant particulièrement brillé, ayant accompagné à l'improviste la chanteuse Jacqueline François, amie du patron, venue apporter son concours pour donner plus d'éclat à la fête. De retour auprès de son père et de son petit frère, elle reprend son rôle de maîtresse de maison, bonne et prévenante pour tous. Sa jeune sœur, Léa, fortement marquée par le milieu Saint-Germain-des-Prés, lui donne beaucoup de soucis. De plus, Michèle est fiancée, mais comprend que son fiancé n'a pas la même conception qu'elle de l'amour et du mariage. Elle s'aperçoit qu'il recherche Léa et rompt avec lui tout en prévenant Léa du danger qui la menace. La maison de couture doit fermer ses portes. Maurice Darnal congédie, à son vif regret, son fidèle personnel et Michèle, très attachée à la maison et aussi, en toute innocence, à ce séduisant Darnal, lui promet de revenir dès qu'il aura la possibilité de reconstituer un atelier. Jacqueline François part donner des concerts dans le Midi et se trouve privée, au dernier moment, de son accompagnateur. Aussi demande-t-elle à Michèle de le remplacer. Brillante tournée musicale sur la Côte d'Azur où Michèle retrouve Maurice Darnal venu liquider sa maison de Nice dans l'espoir de récupérer quelques capitaux pour remonter son affaire parisienne. Les jeunes gens se fiancent. A son retour à Paris, Michèle trouve un foyer bien bouleversé. La jeune Léa, enceinte, a fait une tentative de suicide. Elle sera sauvée et, comme tout finit bien, épousera le père de son enfant. Darnal réussit à nouveau à ouvrir sa maison de couture et Michèle deviendra sa collaboratrice et son épouse.
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