« Tu me dégoûtes ! » lance Marina à Claude qui la frappe, la menace de son revolver, tire en l'air et la force à s'asseoir sur le siège passager de sa décapotable. Puis, pour achever de la terroriser, il fonce vers les falaises qui surplombent l'océan. Une fausse manœuvre et la voiture plonge, disparaît dans les flots. Marina est sauve : elle déclare aux gendarmes, qui n'ont pas retrouvé le cadavre de Claude, avoir sauté à temps.
Accouru sur les lieux, Serge, le frère de Claude, accepte cette version : « C'est un accident, il n'y a rien à dire ». Marina, encore sous le choc, consent à être hébergée chez lui. La jeune femme profite de l'hospitalité de son hôte, architecte, absent toute la journée, pour s'installer, comme chez elle.
Serge, qui tenait son frère en piètre estime, s'étonne qu'elle ait pu en être éprise. Et comme Marina lui a avoué que leur liaison était orageuse, il ne peut s'empêcher de la soupçonner d'avoir tué Claude...