C’était il y a 24 ans. Le tout premier «Toy Story» prenait l’affiche, générant un engouement mérité pour ces jouets qui s’animent dès que leur propriétaire – en l’occurrence un petit garçon – ne les regarde plus. Avance rapide au quatrième volet, en salle le 20 juin. Woody (voix de Tom Hanks en version originale), Buzz l’éclair (voix de Tim Allen), Jessie (voix de Joan Cusack), Zig-Zag (voix de Blake Clark) et toute la bande vivent désormais heureux en compagnie de Bonnie.
La petite fille, couvée par Woody, débute la maternelle et se sent isolée. Lors de sa première journée, elle se confectionne un jouet, Fourchette (voix de Tony Hale), pour lequel elle se prend d’une immense affection. Mais voilà, Fourchette ne comprend pas qu’il est un jouet et se croit toujours un détritus. Lors des vacances de Bonnie et de ses parents, en chemin vers la ville de Grand Basin, il décide de fuir le véhicule récréatif familial pour aller vivre sa vie. Évidemment, Woody se lance à sa poursuite, décidé à le remettre dans le droit chemin: celui d’une vie au service de Bonnie. La suite des aventures, qu’il est hors de question de raconter afin de ne pas gâcher tout l’immense plaisir de la découverte, amène Woody dans un magasin d’antiquités où il retrouvera la Bergère (voix d’Annie Potts) et fera la connaissance d’une poupée appelée Gaby Gaby (voix de Christina Hendricks) et de ses gardes du corps.
Un éblouissement du début à la fin avec une 3 D splendide, et oui faut voir le film en 3D, d’autant que de plus en plus de salles équipées voient le jour à Paris où la 3D n’a plus rien à voir avec ce qu’elle était au début.