Orphelin de mère, abandonné par son père, il s'éduque en autodidacte. Il est recueilli par Mme de Warens, il devient précepteur, mais il est seul et on ne le comprend pas. De cette vie, il tire sa philosophie : le sujet libre tant au niveau de la conscience que du coeur. Selon lui, aucun doute, l'homme souffre d'un mal linguistique et politique. L'homme naturellement bon est perverti par un mauvais usage de la langue. Il faut chercher une harmonie entre les hommes et remettre en cause une société corruptrice. Idées qu'il a développées dans ses livres : "Discours sur l'origine et le fondement de l'inégalité parmi les hommes", "Du Contrat social", "Emile ou De l'Education", "Julie ou la Nouvelle Héloise", "Confessions", "Les Rêveries du promeneur solitaire".