Ses deux grands films muets : en 1923, "La roue" et "Napoléon" (1927), ce dernier, conçu pour le "triple écran", regorgera de trouvailles visuelles et d'audaces en tous genres, mobilisant une figuration énorme, mais le ruina. La chute fut douloureuse avec le parlant : Abel Gance ne tourne plus que des mélos...